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Obserwacya ewolucyi ducha i rządów partyjnych stwierdza jeszcze i dalsze ujemne a niebezpieczne dla

    leur ambition était de tenir les ésprits en haleine, le but des nouveaux comités est de tenir les électeurs en tutelle. La mission des premiers consistait à créer une opinion, la tâche des seconds se ravale à fabriqeur une clientèle. On ne fait plus de la propagande désintéressée pour »la cause«: On racole sans vergogne des mercenaires au service d'une candidature… Les comités d'aujourdhui représentent non plus la politique d'un principe, mais la politique d'un homme. Le conflit des intérêts particuliers ayant remplacé le conflit des idées générales, l'on s'y entraine uniquement à cabaler au profit des individus. Aussi chacun y peut-li entrer sans offrir de garanties d'opinions. En ces chapelles, vouées par calcul au culte exclusif des maîtres du jour, ce n'est pas la fermeté des convictions ni des sentiments qui importe, c'est l'esprit d'intrigue… Maintenant, faire partie d'un comité, c'est un moyen certain de parvenir à quelque emploi, d'obtenir quelque faveur«… Dalej wprost nazywa te komitety »foyers d'intrigues, foyers de corruption, de dénonciation«. »Je désire que l'on revienne aux traditions des associations politiques… elles s'adressaient toujours à l'esprit et au couer, les comités actuels frappent au ventre, c'est un peu trop grossier pour mener longtemps un grand peuple«, Faguet, Culte de l'incompeténce, str. 96: »Le gouvernement parlamentaire à base de suffrage universel c'est la guerre civile, régularisée, mais en permanence; c'est la guerre civile non sangiante le plus souvent, mais c'est la guerre par insultes, par provocations, par calomnies, par dénonciations, par méchants tours et par procès entre différents partis et cela en parmanence. Et c'est dans un pays qui se trouve en ces conditions que la magistrature devrait être radicalement indépendante peur être impartiale; et c'est précisement dans ce pays que la magistrature… est forcée, tout au moins, de ne pas déplaire à un parti, celui qui gouverne et qui est terriblement exigeant, ayant peur que le gouvernement lui soit arraché«. Warto też zapamiętać słowa L. Bourgeois (Solidarité, str. 17): »L'etat des partis ne traduit qu' imparfaitement l'état des esprits. Les partis sont toujours en retard sur les idées; avant qu'une idée se soit assez répandue pour devenir la formule d'une action collective, l'article fondamental d'un programe électoral, il faut une longue propagande; quand les partis se sont enfin organisés autour d'elle, bien des esprits ont déjà aperçu ce qu'elle contenait d'incomplet…