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LA LEGENDE DU ROI.[1]
( . . . . . ) d’une richesse d’autrefois)
— entre un vieillard...
jadis c’était un jardin ici
un jardin des fruits
jadis c’était un jardin ici
un jardin bien fleuri
jadis c’était un jardin ici
un jardin des joies
jadis c’était un jardin des rois —
ce jardin jadis m’appartenait à moi.
mon front ceint une couronne
assis sur un thrône
j’avais douze fils à mon coté
douze ministres et un troussou
jadis...
j’ai connu un château ici
un château à cent tours
un jour
j’ai vu des chevaux blonds dans les plaines d’alentour.
les soldats sur les murs
et aux sommets des tours
flatter les etendards.
j’ai vu du château les remparts
entourrés des profonds fossés,
- ↑ Po powrocie z Paryża (1896) Poeta niejednokrotnie szukał dla swych uczuć wyrazu w języku francuskim. Opracowawszy wówczas w języku polskim obszerne dzieło: „Wielkie Katedry francuskie“ (o Notre Dame paryskiej, o katedrach w Reims, Dijon, Chartres), poprzedził je obszerną dedykacyą wierszowaną w języku francuskim. Jeszcze niedawno krążyło poezyj tych francuskich więcej.
