Strona:PL Zygmunt Krasiński - Pisma T3.djvu/254

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głos swój a wichry skrzydła swe potracą, a my nad burzą, przestrzeń zalegającą, unosić się będziem przy sobie, i nierozdzielni, otoczeni wieczności powagą i blaskiem Nieba złożonego z uczuć dusz naszych własnych.

Do tego Ułomku.

Sans doute puor que l’amour puisse être invoqné, pour que les liens se maintiennent, se renouent encore, pour que l’affection ne soit plus un vain mot, il faut que la séparation ne soit pas absolue, il fant qu’il y ait simplement absence: il faut que les âmes puissent encore se dire dans un langage mystérieux mais certain: „nons nous reverrons“ et comprendre toute la profondeur de cette parole... Certes, cet avenir est bien à nous. Cette autre patrie est notre vraie patrie.

De Gérando, Systèmes de Philosophie, Liyre II.